une expertise commandée par l’Agence nationale de sécurité du médicament

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Interrogée par Le Monde, l’ANSM ne s’explique pas la non-publication de cette analyse à l’époque de sa remise, il y a plus de cinq ans. Mais l’agence dément avec force toute volonté d’occulter ce travail, qu’elle a elle-même commandé : elle indique ainsi que les questions de corrosion ont été abordées par ses responsables, le 19 avril 2017, lors de la réunion du comité scientifique spécialisé temporaire (CSST) – le comité ad hoc institué par l’ANSM pour statuer sur les implants Essure.

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