Scandale sanitaire des implants contraceptifs Essure - Le cri d'alarme d'une victime

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« Cela fait cinq ans que je m’adresse aux politiques. Car s’il n’y a pas une prise de conscience politique, ça ne changera pas. Je suis fatiguée. Mais on ne peut pas lâcher. Quand notre téléphone sonne, avec une femme au bout du fil qui ne comprend pas ce qui lui arrive, il faut être là. On fait ce que l’Etat ne veut pas faire. Car ce que l’on ressent dans notre corps, c’est comme un viol. On est humiliée, dévalorisée. C’est une violence faite aux femmes qui n’est toujours pas prise en compte. »

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